Tu vas être révolté tellement j'suis trop (choisis un adjectif, tout me correspond) - et prout !







mercredi 20 février 2008

1er (faux) reportage : Le phénomène Rahma !

Tout le monde en parle : le phénomène Rahma déchaîne les passions et les foules.
En effet, cette nouvelle mode du Singing' Show, directement dérivé du Marocan' Effect, débarque en France. Et on peut dire... Que ça fait mal !
Le principe est simple :
1- Avoir une amie déconneuse
2- lui demander de chanter 5 titres en pleine rue
3- L'amie en question doit accepter (lol)
4- filmer avec son téléphone portable afin d'apporter au tout une ambiance Vintage digne des plus grands studios cinématographiques Indonésiens !
Mais la plus grande Stareuh de ce phénomène c'est bien-entendu : la sublissime, la talentueuse, la fortunée... RAHMA !!!
En tant que Reporter dilettante (mais néanmoins très prometteur), j'ai décidé de m'apercevoir en personne de l'ampleur de ce phénomène, et ainsi découvrir sa manifestation directe dans une ville de province : Caen.
A ma grande surprise, j'ai pu rencontrer la fondatrice de ce mouvement : Rahma (oui encore elle) qui a bien voulu (suite à un compromis financier) me faire une démonstration de son talent !
Donc voici le reportage en question, il ne manque pas d'humour !
Je tiens à dire que suite à cet énorme investissement pour obtenir l'exclusivité de la vidéo, Stix'Corp est quelque peu... en manque d'argent.
C'est alors dans le but de toujours plus vous divertir que Stix'Corp émet un appel aux dons (mouhahaha je vais devenir riche !).

dimanche 17 février 2008

Itadakimasu !

(= bon appétit en Japonais)

En effet, j'ai mangé Japonais Samedi soir avec ma môman.
Nous nous sommes donc rendus dans le seul restaurant Japonais (flambant neuf) que je connaissais : Le Sakoura.
A mon avis, s'ils ont mis un -o en plus au mot Sakura (cerisier en Japonais et prénom très utilisé pour la gente féminine au même titre que Momigi, qui veut également dire cerisier contrairement à Momiji qui s'ignifie érable) c'est qu'ils ne voulaient pas voir débarquer de grands dilettantes de la culture Japonaise et écorcher Sak-ou-ra en Sak-u-ra (le -u se prononce en -ou comme dans la grande majorité des langues).

Nous avons commandé, en vente à emporter :
en entrée, rien de spécial, j'étais trop pressé de déguster des Sushis qui ne venaient pas de Carrefour. MDR !
en plat central, un assortiment de Sushi : une combinaison de California Rolls (poissons crus, avocat, saumon, thon et bien-sûr riz) avec des Nigiri Sushi (Sushis cylindriques de saumon, maquereau, dorade, omelette, crevette ou Thon). Délicieux !
en dessert, beignets de Banane (c'est fondant et sucré, miam) et un gâteau Japonais (Riz gluant, haricots rouges sucrés et artemisia).
Tout cela accompagné d'une sauce Soja, de sucre doré, de Wasabi, et d'un truc rose épissé et mariné (très bon cela dit).

J'ai tout apprécié et dévoré avec douceur, mais le Gâteau Japonais, c'est vraiment spécial : Gluant, vert, sucré et pâteux : une expérience à faire !

Voici deux photos de cette soirée :


Terminé (?)

Ça y est, le dernier acte a tranché.
Cette pièce n'aura été ni une comédie, ni un drame, mais un mélange confus d'attentes mutuelles non assouvies, d'amour non reconnu, d'illusions, de regrets, de doutes, d'attaches émotionnelles, de joie, de peine, d'amour, de discorde...
Qui aurait pû s'attendre à une telle évolution de l'intrigue ?
Le début a commencé comme une pièce romantique, la rencontre parfaite avec la fille parfaite.
Une surprise le soir d'un anniversaire, celui de la maturité, bien controversée de mal à l'aise, de quiproquo et de situations des plus burlesques.
C'est alors une histoire qui commence dès le début dans le surmenage et la confusion.
Mais personne n'est dupe, c'est le début d'une histoire d'amour.
L'histoire s'enchaîne, les actes passent, passifs et platoniques, les intriguent se poursuivent, le temps passe.
On attend néanmoins quelquechose, une explosion, une amplification des sentiments, une avancée vers l'imprévue, l'extraordinaire et l'inattendu, l'accidentel et l'inopiné...
On s'approche donc inéxorablement vers une planitude, un véritable désaccord avec l'esprit initial : le thème de l'amour et le fortuit.
La fin s'en retrouve morose.
En fait, c'est une sorte de fin inachevée, douteuse, presque préméditée mais mal accomplie, qui laisse perplexe, qui bouleverse l'acte initiateur, qui laisse en attente...
Attente de quoi ?
D'illusions, de chimères qui trompent l'esprit, ou bien de renouveau, un renouveau qui laisse introduire une nouvelle histoire ?
Cependant, les derniers mots sont décessifs et nous amènent à distinguer ce qui les sépare : deux conceptions différentes de l'amour, deux conceptions presque antagonites du "ressenti".
Mais alors pourquoi tant de peine, tant de chagrin ?
On ne cessera de se demander ce qui l'a retenu de ne pas la rattraper dans les escaliers.
Il ferma la porte, le coeur déchiré et le moral éprouvé. Un dernier regard, désolé et retenu.

samedi 16 février 2008

Keiro.

Ça fait déjà un petit moment que j'écoute ce chanteur quasi inconnu en France (et encore moins ailleurs), mais qui s'est déjà forgé une belle réputation sur Dailymotion.
Je parle bien-sûr de Keiro.
Une réputation méritée en vu de son talent, j'adore ses chansons, notamment ses textes.
Il a récemment effectué un nouveau "clip" avec Mathayea, une chanteuse talentueuse elle-aussi, également prisée sur Daylimotion, le résultat est assez étonnant.

Je vous laisse découvrir :



EDIT : J'ai changé la vidéo, l'autre avait été supprimée ¬_¬
Pas mal le chat qui fait le con derrière XD

mercredi 13 février 2008

Valentine's Day


Wow c'est magnifique !
Mais qui a dessiné ça ?
C'est moi ^^ *oui je sais... J'ai du talent*

> Une Saint Valentin catastrophique pour ma part.
Je ne me doutais pas que l'hypocrisie, l'amertume et la moquerie formaient le cocktail de l'amitié sincère.
Je ne savais pas non plus que l'indifférence était la manifestation directe de l'amour.
Je sais néanmoins que l'ironie est un hommage du vice à la vertu...

" No need to cry
I'm here waiting for you
Because Aishiteru "
<3

lundi 11 février 2008

Nana.

Avant toute chose, le synopsis, sinon vous n'allez pas comprendre :
Deux jeunes femmes font connaissance dans le train qui les mène à Tokyo. Tout semble les opposer. L’une est une fashion victime croqueuse d’hommes un peu naïve et l’autre est une chanteuse de Rock au look gothique et aux paroles franches. Les apparences sont trompeuses comme souvent, car leurs destins semblent liés : même prénom, même âge, un voyage à Tokyo motivé par des raisons identiques et bientôt un appartement en commun. Décidément , Nana Komatsu et Nana Ôsaki étaient faites pour se rencontrer ! Mais cette voix off si triste qui nous raconte leur histoire, à laquelle des deux appartient-elle?

Avant que Virgin Tv ne diffuse ce manga-animé, je n'avais pas vraiment envie de m'y intéresser. Pourtant les critiques étaient toutes unanimes : ce manga est excellent, il ne faut absolument pas passer à côté de ce chef d'oeuvre !
Ils avaient raison.
Nana est un vrai diamant : à peine regardé les 5 premières minutes, j'étais déjà conquis par l'ambiance et le charisme débordant des personnages.
L'animé dégage un réel souffle de joie et de bonheur, c'est évident, d'un autre côté les deux jeunes inconnues semblent moins banales qu'il n'y parait, un aspect plus accablant de leur personnalité transparait rapidement : une profonde tristesse.
De plus, la voix qui narre l'histoire semble donner un message de mélancolie ; les deux protagonistes vivent un destin désabusé, désenchanté, maussade et bouleversant qui nous touche au plus profond de notre sensibilité.
En fait, cette destiné ne se montrera pas si méprisable, les deux Nana vont apprendre à se connaitre, à s'aimer : une formidable amitié des plus sincères va naître très tôt entre elles.
Ce destin est celui de beaucoup d'adolescentes (et même d'adolescents) : un certain malaise caché d'un côté par une joie extravagante (Hachi, pseudo de Nana Ôsaki), de l'autre par une passion pour la musique Rock et l'anticonformisme (l'autre Nana, Nana Komatsu).

Une image du manga :

dimanche 10 février 2008

Première Dissection

Le lundi 04 février, après une semaine et demi de vacances bien méritée, j'ai assisté à ma première dissection d'une partie du corps humain.
Bien-sûr, en tant que passionné d'Anatomie et membre du Club S.E. *une certaine ironie*, nous nous sommes mis, ma copine, Rahma et moi, au premier rang comme de vrais petits parfaits étudiants assoiffés de connaissances, d'images gores et de membre humain en voie de putrifaction amorcée *non sérieux, le bras était jaune/vert, d'ailleurs je cite : "Ce bras là est mieux que le précédent mais l'état de conservation n'est pas bon"... Bref, heureusement que je n'étais pas dans la salle pour hûmer ces délicieuses odeurs dû à une nécrose progressive des chairs... Hurm hurm*.
Au début, j'étais un peu mal à l'aise, c'est loin des dissections du lycée : grenouille, souris et système coeur-poumons de porc... Non, là c'est une partie du corps humain (en l'occurence un bras), et c'est sûrement ce qui m'a un peu gêné, car certes au fond ce n'est qu'une partie des restes d'une machine carbonée autrefois fonctionnelle et habitée d'une âme (postulons dès lors que l'âme existe, belle illusion), un sac de protéines agencées et ordonnées, un amas de cellules mortes, en somme une partie dépérissante d'un être autrefois vivant.
Ce qui me perturbait c'était donc le fait que ce soit un bras Humain, j'avais vraiment du mal à le voir comme un simple morceau de chair et d'os. Mais ce qui me frappait aussi c'est l'aisance qu'avait ce chirurgien à manipuler ce bras, pour ne pas dire l'irrespect, un irrespect envers la supériorité supposée de l'espèce humaine, et un irrespect envers le bras lui-même (ce qui est complétement stupide si on ne considère pas son appartenance passée à un individu).
Oui c'est un autre point qui me dérangeait : l'histoire derrière le corps ; ce bras appartenait bien à quelqu'un et je ne pouvais m'empêcher de me questionnait au sujet de l'histoire de cette personne, sa vie, sa mort, avait-elle des enfants ? A-t-elle eu une vie heureuse ? Pourquoi son bras était-il là, sur cette table de dissection ? Etc...
Mais après bien des questionnements profonds sur la légitimité de disséquer un bras humain pour assouvir le besoin d'apprentissage et de connaissance des étudiants de médecine, j'ai fini par accepter ce procédé, le voyant seulement comme une observation saine du corps humain, indispensable à l'acquisition concréte d'une vision anatomique : organisatrice et fonctionnelle du corps humain.

Voici un extrait de l'ED (vidéo prise par mon portable, qualité plutôt médiocre) :


EDIT : Non mais LOL quoi... Ils ont supprimé ma vidéo, c'était pas si gore pourtant XD
Dailymotion = une bande de Baka charlounettisée !

vendredi 1 février 2008

La flemme...

Oui, j'ai vraiment pas le courage d'écrire d'autres billets pour mon blog.
Non pas que j'ai plus d'inspiration, mais plutôt que la volonté m'en manque. *oui je sais c'est de la paresse*
Je vous annonce quand même les grands moments de ces derniers temps :

> Exam' du premier semestre : ça c'est fait ! (je n'en parlerai pas davantage pour éviter une nouvelle rechute dans l'alcool... lol)
> Le Cheeseburger en conserve existe ! (Berk... 'veulent vraiment nous pourrir la santé)
> J'ai enfin l'Ipod Touch, et je dois dire que je ne suis pas déçu, il est vraiment formidable, me reste plus qu'à le jailbreaker, mais là aussi j'ai la flemme.

Peace.